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“Dans mes cuisines, je ne suis pas comme dans l’émission”
“C'était la condition, quand j'ai commencé Cauchemar en cuisine, de ne pas jouer un rôle et faire en sorte qu'on raconte toujours la vérité.” Sa personnalité l’a fait remarquer dans l’émission Cauchemar en cuisine… Philippe Etchebest, chef cuisinier français, a répondu à vos questions sur Brut. Et contrairement à ce qu’on peut voir dans l’émission, il est moins souvent en colère au travail. “Dans mes cuisines, je ne suis pas comme ça, j'ai choisi mes collaborateurs, je les forme, donc ça ne se passe absolument pas comme tu peux le voir à la télé, parce que c'est des cas toujours un petit peu spéciaux”, explique-t-il.
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En tant que chef cuisinier, le préjugé serait qu’il déteste les fast-foods. “Anti-fast-foods, non, parce que j'ai eu l'occasion de manger parfois des hamburgers. Burger King, je ne connais pas très bien, je connais un peu plus McDonald's, mais je suis prêt à essayer aussi Burger King, s’il le faut. (...) Puis il ne faut pas s'habituer aux fast-foods. C'est bien, mais à dose homéopathique.”
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“J'ai baigné très jeune dans la cuisine”
Son émission lui fait aussi découvrir des choses particulières. “La pire découverte que j'ai faite dans un restaurant, c'était à Moissac, c'était le restaurant de Kévin, où j'étais rentré dans une cour. C'était une espèce de dépotoir innommable avec des pigeons morts. Enfin, c'était affreux, c'était violent. (...) Mais le pire restaurant que je n'ai jamais vu, en fait, je l'ai jamais vu.”
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Mais comment en est-il arrivé où il est aujourd’hui? “Mon parcours, il est très classique: école hôtelière, brevet technicien hôtelier, BTH, et puis après, travail. Tout simplement. (...) Ma passion pour la cuisine vient du fait que mes parents étaient restaurateurs. Mon père est chef, donc j'ai baigné très jeune dans la cuisine. Mais ce n'est pas vraiment une passion, en vrai, mais en tout cas, c'est un métier que j'aime et dans lequel je suis investi à 200 %.”
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