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Atmosphère du Fight Club
Lorsque Valentin et Gaetan arrivent au King of the Streets (KOTS), ils sont immédiatement frappés par l'atmosphère qui règne dans ce fight club underground en Suède. Comme le décrit un participant, "Quand on arrive dans ce genre de Fight Club, il y a une atmosphère. Mais ça sent la testostérone, c'est des mecs qui sont là, tous baraques". Ce lieu attire non seulement des amateurs de combats, mais aussi des hooligans venus de toute l'Europe, ainsi que des groupes aux idéologies variées, allant des néonazis aux antifascistes.
Fight Klub, épisode 1
Un autre participant souligne que "À la base, le côté, c'est un feuilleton qui réunit surtout des hooligans pour justement éviter qu'ils se foutent sur la gueule". Ce mélange de cultures et d'idéologies crée une dynamique unique, où même ceux qui ne sont pas politisés, comme Valentin, se retrouvent dans cet environnement. Il mentionne qu'il n'est pas concerné par les luttes idéologiques, affirmant "moi ça me passe au-dessus". Cependant, la présence de symboles controversés, comme le valknut tatoué sur le torse de Valentin, soulève des questions. Valentin explique que ce symbole, souvent associé à l'extrême droite, a une signification personnelle pour lui : "C'est une marque qui me rattache à Alexandre, je peux rien si des gens sont récupérés ces symboles".
Sécurité et préparation au combat
Avant d'entrer dans la cage, Valentin et Gaetan prennent le temps de discuter de la sécurité et de l'intégrité des combattants. Valentin exprime ses préoccupations, disant "Il faut faire attention parce que c'est grand. C'est impressionnant la grandeur de la cage pour la première fois". Malgré l'absence de régulations officielles, il assure qu'il y a des mesures de sécurité en place : "Il y a des médecins, il y a des urgentistes, il y a des voitures qui sont prêtes aussi". Cela montre une certaine organisation, même dans un cadre aussi informel.
Fight Klub : Charles Villa, premier reporter à entrer dans la cage du K.O.T.S.
Gaetan, qui a déjà entraîné des combattants aux affiliations controversées, insiste sur le fait qu'il ne soutient pas ces idéologies. Il déclare : "Je n'ai aucun problème avec ça. J'ai aidé des gens d'extrême droite à s'entraîner, mais en aucun cas j'ai défendu des idées comme ça". Cette distinction est importante pour lui, car il se concentre sur le combat et la préparation physique. Alors que Valentin se prépare à entrer dans la cage, il ressent une pression, mais aussi une fierté. "Je suis tellement fier de toi, tu te rends pas compte tout ce travail", dit-il, soulignant l'importance de cette expérience pour lui et son camarade.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].
